Elu de la Motion participative (LMP), minoritaire au sein du BE, je me suis vu attribuer une double délégation : « relations avec la Coopérative » et « associations ». Un périmètre de responsabilités très encadré : une délégation « réforme du statut de la Coopérative » relevant d’un autre membre du BE et les « associations écologistes » et les « syndicats et acteurs économiques » d’un autre encore.
Pourtant c’est dans un esprit constructif et avec assiduité que j’ai représenté ma sensibilité au sein du BE. Absent à 3 réunions sur quelque cents qui se sont tenues, j’ai veillé à ce que le Bureau exécutif ne décide pas à la place du CF mais exécute et prépare ses décisions, en lien avec le Bureau du CF et arbitre les questions qui relèvent de ses prérogatives.
Après avoir constaté que la Coopérative avait fait l’objet d’une tentative de prise de contrôle lors du précédent BE, j’ai voulu renouer la confiance et redonner de l’autonomie à celle-ci. Nous avons travaillé pour que la Coopérative soit en situation de conduire des actions revendicatives en dehors du parti mais en relation avec lui.
J’ai représenté EELV au sein de la Convergence nationale des services publics qui regroupe partis politiques, syndicats et usagers. Objectif : rappeler que, comme les biens communs environnementaux (air, eau, biodiversité…), les biens communs sociaux (éducation, santé, réseaux de transports…) ne sont pas des marchandises.
Attaché au nécessaire renouvellement des responsabilités, j’ai décidé de ne pas solliciter un second mandat.